Un ensemble de différents sampleurs fonctionnant en stand alone avec un séquenceur tel qu’Ableton Live.
Nécessite une installation un peu complexe !
N’hésitez pas à me contacter au besoin.
Néanmoins, les utilisateur de Max/Msp pourront y trouver quelques astuces…
Quand l’accordéon fut remplacé par les musiques amplifiées dans les dancings de la rue de Lappe et les boîtes de nuit parisiennes, les musiciens du Petit Bal de Poche n’étaient pas encore nés.
Lorsqu’ils arrivèrent au monde, la vague “boum boum” n’avait pas encore atteint leur petit patelin provincial. Ils grandirent alors dans des familles où l’on cultivait encore l’esprit du bal populaire et où la valse musette faisait virevolter les cœurs des ouvriers.
Victimes de la centralisation «à la française», nos saltimbanques «montèrent à la capitale» pour expérimenter des musiques nouvelles et actuelles.
Des Balkans au hip-hop, de la musique électronique au free-jazz, de l’afrobeat à la musique contemporaine ils prennent tant de plaisir à jouer, mais ils ont compris que rien ne remplacera jamais les trois temps qui ont fait valser leur plus jeune âge.
Un violoniste, un accordéoniste, un contrebassiste et un guitariste épaulés, quand l’occasion se présente, d’un batteur, d’un vibraphoniste et d’un saxophoniste.
Décidés à ré-instaurer dans les rues, les pharmacies, les aires d’autoroute et autres night-clubs la guinguette qui somnole en chacun de nous, le Petit Bal de Poche fait ressurgir les chansons, les valses et les tangos que le temps nous a fait oublier. Et quand ça guinche, les peines et les douleurs sont aussitôt estompées…
Poussé par un vent nouveau associant musique traditionnelle et improvisation, le groupe ODEIA joue sur la corde sensible. Et ses musiciens n’en ont pas qu’une à leur arc : vocales, frottées, pincées, expérimentales, elles leur font franchir les frontières, l’âme cachée dans les caisses leur servant de passeport.
Le bagage du quatuor, composé de musique traditionnelle, classique, jazz, free jazz, etc., est le mélange de leurs racines profondes et des souvenirs qu’ils ont rapportés des pays traversés.
Par ses évocations chantées en grec, français, italien, ladino…, ODEIA entraîne le public dans une nouvelle Odyssée où le cœur chavire sans que l’équipage s’y noie.
Elsa Birgé : Voix
Lucien Alfonso : Violon
Karsten Hochapfel : Violoncelle, guitare
Pierre-Yves Le Jeune : Contrebasse
………. .. ……..Semper-fi ………… ….ou ..Semper fidelis,………. ….« always faithful »……….. ….to a musical ideal, to the will to go even further in the expression of ones feelings, to the desire to construct ones personnel universe where energy and emotion feed-off each other. The album was recorded in this spirit, “live”, with an all-acoustic sound, in January 2009……… …… …… ……The Band ……– The ….Vincent.. Jourde.. Quartet emerged in 2008 and it quickly became apparent that there was great chemistry. Each musician contributed with his own personal touch to the repertoire……… …… …… ……The album –.. ……….A la source……, it’s Coltrane, an inextinguishable source of inspiration and spirituality. ……Ferdin……, a tribute to the ….author…. of ..Voyage au bout de ..la nuit… ..La.. chanson de Gali, Joud’O, Rolca, ..Nicolas…., are a ….window…. to the ….composer’s personal…. universe……… …….. …….. ……About ….Vincent.. Jourde.. – ……After completing a course of study in classical saxophone with André Beun, ….Vincent.. Jourde.. set his mind on becoming a jazz musician. He then studied with Bertrand Auger at l’Ecole Nationale de Musique de Noisiel as well as taking ensemble workshops with Peter Giron at the American ….school.. of ..Modern…. music. In 2003, his encounter with Rosario Giuliani also had a great impact on his conception of improvisation……… …… …… ……Acknowledgements– ……Thanks to all who have contributed the making of this CD : Philippe Monange, Pierre-Yves Le Jeune and Benoist Raffin for their talent and dedication to the project, Carole Wrona and the Jourde family for their steadfast support, Thomas Vingtrinier for his ears, Florence Vax as well as my friends, all of them……… …… …… …… …. ……MES SITES…… ……..
Fluid est un projet électro instrumental formé en 2003 de deux musiciens, qui s’expriment sur scène utilisant laptops, synthétiseurs, jouets musicaux modifiés (clavier casio, dictée magique et autres jeux sonores), et violoncelle « midifié ».
Leurs compositions allient les influences « classiques » de l‘electronica-IDM (d’Aphex Twin, Squarepusher ou Autechre à Otto Von Schirach et Venetian Snares), « gonflées » au son jungle-Drum’n’bass ou EBM; et alourdies d’ambiances sombres, froides ou mélancoliques qu’on croirait sorties d’un film de science fiction viennois des années 30.
Les rythmiques pitchées, découpées, « breakées » et defigurées, les basses chaudes, rondes et puissantes, parfois saturées et poisseuses, des évènements sonores surprenants, des déferlements de percussions synthétiques et des textures organiques, électroniques ou acoustiques forment des climats étranges. Les morceaux en évolution permanente font danser le cerveau aussi bien que les pieds.
Puissance, complexité et bizarreries auditives sont combinées en une sorte de dance music du futur,
d’un futur digne des scénarios d’anticipation les plus noirs.
Depuis 2006, après quelques années de compositions studio, le duo s’attaque à la retranscription sur scène de cet univers singulier.
Ils se sont produit au Batofar, au Glaz’art, à l’OPA, au Nouveau Casino, à La Maizon – dans le cadre des rendez-vous électroniques 2006 – aux côtés de Venetian Snares, dDash, Future Prophecies, DJ Black Sifichi, le Santa Crew, Absent, Freecab…
Une adaptation scénique et multimédia d’un album atypique. Un concept de Ciné-BD-Concert inédit.
Spectacle tiré de l’album de Fred Bezian “Les Garde-fous” (Delcourt),
Un drame psychologique raffiné sur fond de crimes en série et de tension conjugale…
Un thriller torturé servi par un graphisme ciselé et une musique intuitive.
Le montage, les effets, l’animation des dessins, et leurs projections en multi écran indépendant, offrent des perspectives jusqu’alors inexplorées en BD. Plongez au coeur de l’intrigue, scrutez les images pour y déceler le mouvement, l’essence du trait.
Les voix donnent vie aux personnages, l’atmosphère sonore et la création lumière, en prolongement scénique de la BD, offrent une nouvelle dimension à ce huit clos tourmenté.
Entrez dans la psychologie des personnages et l’intensité de l’action. Vibrez au rythme d’une bande originale alternant composition et improvisation, électronique et acoustique, interprétée en live par Sayag Jazz Machine.
Formation atypique, SAYAG JAZZ MACHINE dévoile avec toujours plus de créativité depuis 10 ans, une jungle jazz aux influences multiples et imagées.
Aujourd’hui, avec ce 3ème album « No me digas », le groupe affirme son originalité et pousse le curseur electro, break et hip hop au maximum , offrant un véritable ovni d’énergie cinétique. SJM joue littéralement les contrastes de la vibration électronique et de la note bleue, avec la complicité d’invités aussi éclectiques qu’ inattendus : le guitariste et oudiste TITI ROBIN, au coeur oriental et gitan (Naïve), BUSDRIVER, un des personnages des plus charismatiques du hip-hop actuel, issu de la scène de Los Angeles (Big Dada / Ninja Tune), SOKLAK, le rappeur parisien à la gouaille assassine, la Chilienne ANITA TIJOUX et son phrasé coloré hip-hop latino, (chanteuse du groupe MAKIZA), ou encore les BROKE GRINGOS, collectif singulier de la scène hip hop allemande…
Sur scène, pour ce nouvel album, SJM fait son cinéma et propose sur fond de fiction cyberpunk absurde « à la Terry Gilliam » d’ouvrir les portes d’un laboratoire visuel et sonore énigmatique, et de plonger au coeur du sommeil paradoxal.
Cette introspection va laisser échapper des émotions des plus intimes et des plus profondes, provoquant, avec délice, l’aventureuse exploration des turpitudes que recèle le rapport homme / machine… situations psychotiques, cauchemardesques, oniriques et… déjantées. SAYAG JAZZ MACHINE développe, dans ce spectacle tout à fait original, un concept où lumières, projections vidéos et musiciens jouent, s’emportent et se déchainent, en total alchimie, dans une électro-symphonie multimédia.
Sur la route, le groupe ne se contente plus des plus prestigieux festivals français (Printemps de Bourges, Ososphère, Rock en Seine, Francofolies de la Rochelle, Marsatac…) : SJM s’est aussi produit en Grande-Bretagne, Allemagne, Belgique, Suisse, Hongrie, Serbie, République Tchèque, Pologne et au Mexique.
«[…] Bon groupe d’influence globalement jazz-rock. Les compositions sont originales, variées, certains textes ne manquent pas d’humour, le son d’ensemble est séduisant et nous éloigne du déjà-entendu. Il y a là une écriture, une couleur, et c’est dans ses compositions que Lifescape est vraiment intéressant»
Citizen Jazz
«[…] Le visage d’Olivier Régin nous disait quelque chose, sa voix surtout. Non seulement elle n’est pas sans évoquer celle de Kurt Elling (si, si !), […] la voix est toujours là mais il y a de l’aisance en plus , une gestuelle de scène qui donne une âme à leur prestation. Un quartet bien soudé! […]»
Jazz- Rhones Alpes
«[…] Le groupe Lifescape dispose de qualités musicales indéniables qui font de ce premier opus un disque prometteur.[…]»
The French Touch
«[…] Lifescape, un quartet organisé autour d’Olivier Regin , grand gaillard à la voix juste et claire que le scat n’effraie pas. Avec Mark Murphy et Kurt Elling comme modèles, la barre est placée très haut et le chanteur a le courage de tenter des choses difficiles.[…]»
JazzMan
«[…] La voix particulièrement juste, déjà éprouvée, s’extrait avec adresse de l’instrumentation qui l’entoure. Certes, les influences sont évidentes, mais s’estompent au profit d’une approche originale et soignée. Scat convaincant. Musiciens précis.[…]»
Citizen Jazz
Une composition écrite pour le spectacle[re]garde-fousde Sayag Jazz Machine.
Un concept de ciné-bd-concert d’après l’œuvre de Frédérique Bézian (Delcourt).
Ici j’utilise, en collage, des samples de Prometeo de Luigi Nono.
Mix et montage video: Christophe Vermand.
Une composition écrite pour le spectacle[re]garde-fousde Sayag Jazz Machine.
Un concept de ciné-bd-concert d’après l’œuvre de Frédérique Bézian (Delcourt).
Flûte: Nicolas Scheid
Mix et montage video: Christophe Vermand
It is with Buj at the drums and Pierre-Yves Le Jeune at the bass that Alice Orpheus is looking for his own answers in term of structures, relationship to black american music and bridges inside his own culture.
Travelling from dark and sensual ballads to an Energic Soul, Alice Orpheus and the Nightwatchers live experience is a blazing journey through sounds, styles, story telling and emotions.
Alice Orpheus : Voice, keys, guitar, viola
Pierre-Yves Le Jeune : Bass
Buj : Drums
Un morceau écrit pour le 3eme album de Sayag Jazz Machine.
ligne de contrebasse hypnotique, batterie en variation perpétuelle, petite thème de flûte et pour couronner le tout: les scratchs de Charly Sy et les improvisations de Nicolas Sheide à la clarinette basse.